si vous voulez… bien que le refus de mourir n’empêche pas de mourir, sans forcément impliquer de malaise.
Plus sérieusement, l’oubli se produit-il ? Pas forcément : dans mon hypothèse, car ce n’est qu’une hypothèse, le refus d’oublier impliquerait la réactivation incessante de l’information en mémoire à court terme, empêchant par là de s’intéresser à de nouvelles informations, et un malaise : non pas celui lié à l’oubli de l’information réactivée, mais celui lié à l’impossibilité de s’intéresser aux nouvelles tant que nous restons scotchés par ce que nous avons en tête, sans pouvoir prioriser.
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Par : uncourt
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